martedì, marzo 06, 2007

correspondences

La Nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles;
L'homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l'observent avec des regards familiars.
Comme de long échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les pafums, les couleurs et les sons se répondent.

Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,
Doux comme del hautbois, verts comme les prairies,
- Et d'autres, corrompus, riches et triomphants,
Ayant l'expansion des choses infinies,
Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens,
Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.

Charles Baudelaire
Les Fleurs Du Mal, 1857

dedicata a me e alle arcane corrispondenze nell'aria...
dedicata a chi mi sente come vento fresco sul viso...
e a chi ha voglia di tornare a sentire quel vento...

1 commento:

Anonimo ha detto...

quel vento mi manca come l'aria che respiro....
che voglia di snetirlo!!!ooooo!!!

solluna

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Salerno, Italy
Não sou nada. Nunca serei nada. Não posso querer ser nada. à parte isso, tenho em mim todos os sonhos do mundo/ Non sono niente. Non sarò mai niente. Non posso voler d'esser niente.a parte questo,ho in me tutti i sogni del mondo. [Fernando Pessoa]

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